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Le « troisième voisin » de la Mongolie : un équilibre entre la Chine, la Russie et les États-Unis

Downtown Ulaanbaatar, cc Zazaa Mongolia, modified, https://commons.wikimedia.org/wiki/File:UB_downtown.jpg

Depuis la chute de l’Empire mongol en 1368, la Mongolie, petite nation de seulement 3,3 millions d’habitants, lutte pour préserver son indépendance face à l’influence grandissante de ses deux voisins géants, la Chine et la Russie. Après l’effondrement de l’Union soviétique et sa transition vers la démocratie, Oulan-Bator a dû relever de nombreux défis pour élaborer une politique étrangère indépendante, risquant souvent la colère de Pékin ou de Moscou en résistant aux pressions des deux pays. Pour équilibrer cette relation délicate, la Mongolie a mis en œuvre une politique du « troisième voisin », qui vise à cultiver des liens avec les nations occidentales, en particulier les États-Unis, pour contrebalancer l’influence écrasante de la Russie et de la Chine. Cependant, en mettant en œuvre cette politique, Oulan-Bator veille à ne pas pousser ces relations trop loin, toujours soucieux de maintenir un équilibre délicat qui évite de provoquer l’un ou l’autre de ses puissants voisins.

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