Donnez-moi vos combats fatigués, vos pauvres, vos… statues internationales réalisées sur les réseaux sociaux? Si quelqu'un demandait le redémarrage granuleux de Le nouveau colosse Ou pas, le voici: Raphaël Glucksmannun membre du Parlement européen qui fait partie de la direction de l'alliance progressiste de la France des socialistes et des démocrates, a suggéré dans un discours dimanche que l'Amérique «nous rend la statue de la liberté», disant que Donald Trump et son gouvernement «a choisi de passer du côté des tyrans».
Lady Liberty, qui a séduit avec sa routine de bras «Hold Up a Big A Big Torch» depuis son dévoilement en 1886, était un cadeau de la France pour honorer l'alliance entre les pays.
Glucksmann a souligné que les positions anti-immigrants et les relations internationales moins qu'énoncées par l'administration actuelle n'étaient pas conformes à l'esprit du monument, qui est censé être un symbole de bienvenue sur les rives de l'Amérique.
« C'était notre cadeau pour vous », a-t-il dit au public applaudissant. « Mais apparemment, vous la méprisez.
Lundi, secrétaire de presse de la Maison Blanche Karoline Leavitt On lui a demandé dans son point de presse si Trump renverrait la statue de 225 tonnes comme suggéré.
« Absolument pas », a-t-elle dit. «Et mon conseil à ce politicien français de bas niveau et sans nom serait de leur rappeler que ce n'est qu'à cause de ces États-Unis d'Amérique que les Français ne parlent pas en ce moment, ils devraient donc être très reconnaissants à notre grand pays.»
Glucksmann s'est rendu sur X (anciennement Twitter) pour répondre.
«Comme le secrétaire de presse de cette administration honteuse l'a dit: Sans votre nation, la France aurait« parlé allemand »», a-t-il écrit, y compris un clip des commentaires de Leavitt. «Dans mon cas, cela va plus loin: je ne serais tout simplement pas là si des centaines de milliers de jeunes Américains n'avaient pas atterri sur nos plages en Normandie.»
Et, juste pour le préciser, il a écrit dans un autre tweet: « Personne, bien sûr, ne viendra voler la statue de la liberté. »
Quelque part, la salle de l'écrivain pour le prochain épisode du Un moi méprisable La franchise est devenue très bruyante.
«La statue est la vôtre. «Et si le monde libre n'intéresse plus votre gouvernement, nous allons prendre le flambeau, ici en Europe.»