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La course à la domination des infrastructures arrive en Afrique

Suez canal, cc AashayBaindur, modified, https://en.m.wikipedia.org/wiki/File:Capesize_bulk_carrier_at_Suez_Canal_Bridge.JPG

Début janvier, l’annonce selon laquelle le fonds de gestion d’actifs BlackRock avait acquis Global Infrastructure Partners (GIP) pour plus de 12 milliards de dollars a signalé l’intention de l’acteur privé de devenir le principal investisseur dans les infrastructures en Afrique. Dirigé par le magnat des affaires nigérian Adebayo Ogunlesi, GIP était l’un des principaux investisseurs en infrastructures sur le continent. Cette décision témoigne de l’intention de BlackRock de mener la course aux paris à long terme sur l’énergie et les infrastructures sur le continent mère : parmi les principaux actifs de GIP se trouve le groupe Suez Water.

Avec 10 000 milliards de dollars d’actifs, BlackRock domine Wall Street. Le plus grand gestionnaire d’actifs au monde vise désormais à étendre considérablement sa présence dans les investissements dans les infrastructures, notamment les aéroports, les ponts, les oléoducs et d’autres secteurs. Le gestionnaire d’actifs réalise un investissement important dans les infrastructures, une stratégie financière impliquant l’investissement, l’acquisition et la gestion d’actifs tels que des tunnels, des autoroutes et des réseaux pétroliers et gaziers. Cette approche a gagné du terrain au cours des dernières décennies, en partie grâce à des rendements constants à long terme. Les gouvernements confrontés à des contraintes financières se tournent de plus en plus vers le financement privé pour des projets tels que le haut débit par fibre optique, les centres de données, les initiatives en matière d’énergie verte (en accord avec l’accent mis par BlackRock sur les actifs liés au climat), ainsi que l’amélioration des aéroports et des routes.

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