Le 27 janvier, les hommes armés de Cartel ont ouvert le feu sur les agents de la patrouille frontalière américaine près de Fronton, au Texas. Bien que personne n'ait été signalé blessé, l'échange sous-tend une perspective de sécurité de plus en plus lourde le long de la frontière américano-mexicaine.
L'attaque intervient juste au moment où le président Donald Trump a lancé une répression contre les cartels et la sécurité des frontières. L'effort a impliqué la déclaration d'une urgence nationale, le déploiement de 1 500 soldats supplémentaires à la frontière et l'élargissement de la coopération militaire avec les forces de l'ordre locales. À l'appui de ces efforts, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a renforcé la sécurité des frontières de l'État, envoyant plus de 400 soldats supplémentaires et élargissant les obstacles, y compris les installations de bouée le long du Rio Grande. Pendant ce temps, le Mexique a commencé à accepter les migrants expulsés, y compris les non-Mexicains, malgré le rejet auparavant de la politique de «Reste in Mexico» de Trump.
La répression nationale de l'immigration de Trump a également augmenté, avec des agents de l'immigration et de l'application des douanes (ICE) menant des arrestations de masse dans des villes comme Chicago, Denver et Miami. Les responsables avertissent ces actions à risquer une réponse sans précédent en cartel, et certains rapports ont suggéré que les cartels ciblent directement les agents américains.